Fonds de dotation AROURA INSTITUTE

Le matin au réveil quand je ne suis pas bien réveillé, et que mon corps est tendu, douloureux, que le planning de la journée s’affiche sur mon écran intérieur, boire un thé bien chaud ou une infusion me permet de démarrer la journée. Le soir, de retour à la maison, quand le froid s’installe, une bonne soupe chaude me réconforte. Quand de la tristesse se présente à ma porte, une musique aimée me permet de m’installer dans une bulle de bonnes vibrations. Mon corps et mon mental trouvent ainsi du réconfort, mais il faudra renouveler la quête souvent car ces réconforts sont nécessaires et essentiels mais bref. Ce sont les habitudes du quotidien. Alors si je m’assoie, que je remercie la sensation de l’air qui est absorbé et me nourrie, et la sensation de l’air que je rend à l’atmosphère, je m’aperçois que cette nourriture est offerte en permanence et perçue par mes sensations. Je m’y installe, parfois avec douceur et bien être, parfois avec confusion car ce n’est pas aussi bien que la dernière fois, parfois parce qu’à chaque fois les conditions de mon environnent interne et externe seront différentes ou vont se modifier. Je m’installe donc, et je poursuis le chemin quand même, je me retrouve dans mon espace intérieur, près d’une source de vie, d’un lac, d’un océan, ou d’une grotte, en sécurité, ou dans l’obscurité avec mon film intérieur. Une distanciation s’établit, je m’installe, mon corps est autonome, il expire l’air tout seul, sans effort, je le laisse faire, à un moment il va reprendre de l’air spontanément, au rythme qui sera donné par son besoin avec l’effort juste ; rien à faire, laisser faire. Repos complet. Ce qui se passe ensuite, cela se passe. Au bout d’un moment je reprend doucement le cours des choses, bien calé au creux de mon souffle. Parfois je garde la conscience de ma respiration toute la journée, ou sinon parfois je m’accorde 3 minutes pour me recentrer, cela m’aide à surfer sur les émotions. Parfois je n’arrive pas à m’asseoir dans la journée ou le soir. Alors avant de dormir je prend conscience de ma respiration. Le calme mental pourrait devenir alors une nourriture permanente.

L’enseignement du calme mental de karchèneLà a été à la fois, libérateur et apaisant. Durant les séances de méditation, il y a une telle connexion à l’enseignant que notre esprit se vide complètement. Pour la première fois de ma vie, mes pensées s’étaient arrêtées, le silence pris place, la paix de l’esprit est naît ! Un grand merci !

Après la pratique du calme mental je retrouve une qualité respiratoire, un alignement qui ouvre le plexus solaire et m’apporte sérénité. Dans le quotidien cela me permet d’aborder les aléas de la vie perso ou professionnels avec calme et détachement et ne pas être polluée par des émotions négatives. Dans la pratique elle-même, la respiration m’apaise et me détend ainsi le calme s’installe dans mon corps et mon cerveau. Ensuite s’installe une joie intérieure qui me porte et me permet d’accueillir la vie avec plus de sérénité et de confiance. Merci!

Pratiquer le calme mental me permet de plonger au fonds de mon âme, de ne plus ressentir de souffrance, d'être complètement détachée du monde matériel. Il me faut encore persévérer pour en accueillir tous les bienfaits. J'ai également lu le livre de KarchèneLà sur le pranayama. Il faut que je mette en pratique également.

Dans le silence intérieur, lorsque le mental s’apaise, quelque chose de précieux s’ouvre. Je retrouve le fil de ma respiration, la présence douce de mon corps, et peu à peu, je sens que je reviens à moi-même. C’est une reconnexion subtile, comme si je m’approchais de mon âme, guidée par une paix qui ne demande rien, mais qui se déploie d’elle-même. Alors si je m’assoie, que je remercie la sensation de l’air qui est absorbé et me nourrie, et la sensation de l’air que je rend à l’atmosphère, je m’aperçois que cette nourriture est offerte en permanence et perçue par mes sensations. Je m’y installe, parfois avec douceur et bien être, parfois avec confusion car ce n’est pas aussi bien que la dernière fois, parfois parce qu’à chaque fois les conditions de mon environnent interne et externe seront différentes ou vont se modifier. Je m’installe donc, et je poursuis le chemin quand même, je me retrouve dans mon espace intérieur, près d’une source de vie, d’un lac, d’un océan, ou d’une grotte, en sécurité, ou dans l’obscurité avec mon film intérieur. Une distanciation s’établit, je m’installe, mon corps est autonome, il expire l’air tout seul, sans effort, je le laisse faire, à un moment il va reprendre de l’air spontanément, au rythme qui sera donné par son besoin avec l’effort juste ; rien à faire, laisser faire. Repos complet. Ce qui se passe ensuite, cela se passe. Au bout d’un moment je reprend doucement le cours des choses, bien calé au creux de mon souffle. Parfois je garde la conscience de ma respiration toute la journée, ou sinon parfois je m’accorde 3 minutes pour me recentrer, cela m’aide à surfer sur les émotions. Parfois je n’arrive pas à m’asseoir dans la journée ou le soir. Alors avant de dormir je prend conscience de ma respiration. Le calme mental pourrait devenir alors une nourriture permanente.

La pratique du calme mental liée à la respiration est nouvelle pour moi, mais je m'y tiens quotidiennement. Au-delà du fait que je débute, je sens déjà un bien-être intérieur s'installer. J'ai le sentiment que c'est une étape essentielle pour renforcer ma résilience et pour m'aider à vivre l'instant présent, sans l'anxiété du futur. J'apprends à ne plus lutter contre mes émotions, mais à les laisser venir avec bienveillance. Ce moment de calme que je m'offre chaque jour me ressource, me recentre et me permet de me sentir plus en paix avec moi-même.

J'avance dans mon cheminement avec le calme mental...depuis deux séances je me rends compte que après séance je dors super bien...comme si j'étais sur un nuage. Et au travail je gère mieux l'agressivité, nervosité des gens! Merci!